Wow, wow, wow! Résume cette nouvelle de Jack London. Quelle histoire incroyable de préhension de la survie de ce court récit s'est avéré être. Dès la première phrase que vous êtes pris au piège dans la lecture de la suite de cette histoire fascinante.
Le complot de l'amour de la vie (pas de spoilers)
L'histoire est simple et immédiatement compréhensible, deux prospecteurs d'or souffrent de la famine comme ils crapahuter péniblement à travers la toundra gelée du Canada pour trouver de la nourriture. L'un des hommes que l'on appelle le projet de loi et l'autre, notre protagoniste, reste anonyme pour l'ensemble del'histoire. Malheureusement pour notre homme, la famine et l'exposition aux éléments sont les bonnes nouvelles pour lui, car il se foule une cheville et bientôt son ami Bill cher l'abandonne à son sort. Sans balles de son fusil, il marche vers un destin incertain.
Mais ce manque d'explication est aussi un peu rusé et je me demande si c'est un appareil Londres utilise pour vous garder en anticipant la révélation? Nous ne saurons jamais avec certitude, mais il ya beaucoup de plaisir à spéculer sur. Employant une telletactique ouvre l'auteur au danger du lecteur d'être déçu si la révélation ne vient jamais, mais il n'y a rien du tout décevant dans cette aventure.
L'éclat de la pièce est qu'il vous oblige à voulez savoir comment la saga se termine et ce qui arrive à notre pauvre prospecteur. Votre propre peur de sa situation et votre empathie pour son sort ne vous permettra pas d'arrêter de lire jusqu'à ce que vous connaissez lerésultat. L'prospecteur est sûr que son vieux copain, le projet de loi, va attendre pour lui et le point de rendez-vous et nous espérons avec lui, tout en secrètement penser à nous-mêmes que le projet de loi, que le chien du scorbut, ne va certainement pas attendre. C'est encoreune démonstration claire du génie d'écriture de Jack London. S'il n'avait pas créé cette situation et simplement laissé au projet de loi en laissant son ami derrière, nous n'aurions pas anticiper la catastrophe future. C'est comme la fameuse «théorie de la bombe» d'Alfred Hit, la tension est créée en montrantnous allons potentiellement mal tourner. Il nous montre la bombe sous la table et nous prévoyons que c'est une détonation, c'est la tension. Surprise, c'est quand la bombe explose, mais nous ne savions pas qu'il était là. Londres sait faire la différence et crée des tensions dans le lecteuren introduisant le spectre de la dureté de Bill .
Inutile de dire que ce pauvre diable est assaillie par les obstacles qui pourraient dissuader les vieux Job lui-même, y compris une rencontre avec un ours. Mais, à la fin, c'est un loup solitaire qui lui traque inlassablement que crée le plus d'inquiétude. Malades et affamés lui-même, le loup marche lentement derrière le prospecteur malchanceux. Comme une chasse au ralenti elles aussi tomber sur la toundra, chacun attendant que l'autre à mourir en premier. Un sort plus horrible, cependant, se bloque sur le prospecteur, car il sait que, s'ilfixent, trop faible pour se battre, puis le loup se mit à la fête, dévorer vivant. Plusieurs fois, en effet, le loup se glisse avant de lécher son visage pendant qu'il dort, tester sa force et sa capacité à lutter contre une attaque. Et chaque fois qu'il trottine dos, attendant avec la patience de l'affamé .
La poursuite continue, jour après jour sans fin jusqu'à ce que notre prospecteur ne peut plus marcher. Ses pieds sont des rubans sanglants et si il continue sur ses mains et ses genoux, tout en recherchant quelque chose, quelque chose à manger. Pourquoi ne pas que le loupmourir? Et quand il revient, il trouve que le loup a trouvé quelque chose à manger. C'est boite derrière lui, lécher les traces de sang laissées par ses propres genoux, saignement.
Peu d'écrivains peuvent créer autant de terreur sur un loup presque mort, mais Jack London garde révélant son expertise à nous manipuler quand il a introduit la possibilité du salut sous la forme d'un baleinier. Rescue enfin! Eh bien Londres n'a pas l'intention de laissernous détendre un peu moins facilement. Au moment où le prospecteur repère le navire, Londres nous fait croire qu'il ne possède pas la force physique pour faire son chemin trop il. Notre titanesque de prospecteur volonté de vivre ne pas lui manquer, mais son corps est procheà sa fin et il se développe toujours plus faible, toujours plus près des pots de déchirure de la mort-loup qui suit .
Est-ce que notre pauvre prospecteur faire? Ne vit-il? Lors de la finale, la confrontation féroce avec son ennemi juré, le loup, est-il victorieux? Ou est-il à surmonter et mangé par la bête en vue de la délivrance?
Bien que je ne vais pas vous dire si les assiégés prospecteur vie ou est mangé par le loup, je dirai que, croyez-le ou non, cette histoire a une fin un peu d'humour. Je ne citerai à nouveau attirer l'attention sur la façon dont Jack habileL'écriture de Londres est. Après nous horribles avec un voyage d'impensable, obstacles cauchemardesques, il nous fait rire. Récompensez-vous et de lire cette histoire. Elle vient dans une collection d'autres belles histoires, chacune un témoignage de la grande littérature.
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